Dominique BAKK, peintre reconnu professionnellement et internationalement, peint depuis plus de 40 ans. A la fois figuratif et abstrait, il enseigne son art depuis une dizaine d’années. Depuis qu’il a mis le doigt dans l’univers de l’abstraction en 2001, Dominique BAKK n’a en effet jamais arrêté d’ajouter de nouvelles lignes à son curriculum vitae. Il invente le monde de l’art avec des compositions maîtrisées et des contrastes faits d’ombres et de lumière. Il se plait à capturer cette lumière par de multiples couleurs à la fois tendres ou vives. Son parcours riche d’expérience lui permet de réaliser des œuvres fort intéressantes dans lesquelles l’espace semble primordial.
J. C. MICHAUD – Association des Arts Actuels, Québec
BAKK, vos toiles sont des arcs-en-ciel qui nous confirment votre talent de coloriste. Votre peinture révèle une atmosphère poétique et pleine de vérité.
Pierre LEBLANCHARD - Galerie Art-Symbol (Canada)
Artiste reconnu, l’art de D. BAKK sur ses toiles abstraites, possède une technique sublimée par des couleurs vibrantes. Cette maîtrise est l’indéniable alchimie d’un savoir-faire que nous proposons de mieux découvrir.
L’officiel des actualités des art, Bruxelles 2016
Bien que né près de Lille , à Lambersart, Dominique BAKK n'a de cesse de prôner avec panache un Pays d'Auge particulièrement séduisant sous son pinceau marqué par l'Impressionnisme qui en a fait un peintre paysagiste autodidacte de renom. Ce qui me paraît remarquable dans la façon de peindre chez Dominique BAKK, c'est la compréhension de ses oeuvres en plusieurs degrés : D'abord, la qualité de la touche fine et vibrante pour le plus grand respect de l'émotion impressionniste et des coloris fidèles pour la plupart au Pays d'Auge. Puis, à l'examen attentif, la toile propose une seconde vision comme par magie, et révèle la profondeur de la construction originale, toujours audacieuse dans un ensemble pourtant de tradition. Sensation qu'accentue plus encore le rôle intense de la lumière au gré d'une gamme de couleurs magistralement étudiée qui surprend et conquiert en déclenchant surprise et respect envers un artiste qui souvent se voue à une façon de percevoir la nature en une singularité peu ordinaire par un impact vivifiant et authentique. Cette sérénité apparente et ce charme fourmillent d'une vie profonde et constante et d'une poésie active que soutient une technique impeccable, fruits brillants d'un figuratif fascinant. Mais comment dissimuler mon plaisir envers ces sortilèges qui se retrouvent aussi dans certains tableaux d'une facture plus contemporaine, où la réalité sous-jacente s'enrichit de flux de couleurs et de lumière d'une étonnante réussite qui affirme profondément la sensibilité constructive de cet artiste.
André Ruellan, critique d'art
Bravo et merci d'avoir axé tes oeuvres sur la nature, la représentation telle qu'elle est en réalité, sujet que tu traites si bien pour le plaisir de tous.
Daniel VOLKA - Artiste peintre
La palette est riche, l'atmosphère du pays d'auge et la luminosité de la région normande surgissent si subtilement que l'on s'y croirait! signes indiscutables du talent reconnu de Dominique BAKK, post ou néo-impressionniste, peintre montant des Paysagistes Français dans la lignée de la si belle école de ROUEN.
Christian GERLES - Galériste
Encore merci, votre peinture possède beaucoup de plaisir, elle a le sens des couleurs et de sincérité.
Docteur Natalia BRODSKAIA
Musée de l'Ermitage LENINGRASD
Jamais "peinture" n'a été aussi proche de la "nature"
Alain MASSON - Critique d'art
De facture impressionniste, la peinture de Dominique BAKK est un fourmillement de couleurs, de bonheur immédiat et de poésie. Une technique très au point qui possède le don de nous faire partager sa merveilleuse sincérité; Un artiste à suivre...
Claude STEICHER
Expert en investissement d'art
Dominique Bakk
Un parfum de vieille Europe
Quand un artiste devient-il conscient qu'il a atteint le sommet de son art ? Ou le sait-il vraiment un jour, puisque ceux dont on juge qu'ils y sont arrivés s'astreignent encore à peindre selon un horaire régulier, comme le fait Dominique Bakk, par exemple, de 10 heures le matin à 13 heures ? Bakk a-t-il cru y être parvenu il y a vingt ans quand un de ses tableaux livré à un collectionneur s'est retrouvé dans une imposante demeure à côté d'une œuvre du grand maître Bernard Buffet, alors que lui n'était encore que dans la jeune trentaine ? Croit-on avoir fait sa marque dans le domaine des arts quand on a remis en mains propres et à nul autre que Tony Blair une toile intitulée Saint-Martin-d'Oydes, ses environs, destinée à orner un des murs du célèbre 10 Downing Street ? Mais encore, commence-t-on justement à savourer sa renommée quand ses œuvres se négocient à l'ombre de la Colonne Vendôme, symbole, s'il en est, des faits de gloire de la vieille France ? Ses 44 mètres de hauteur sont d'abord faits d'une pierre enchâssée dans le bronze de 1250 canons capturés à la bataille d'Austerlitz en 1805 ... A-t-on vraiment réussi, donc, quand on se retrouve en vitrine de la galerie Levasseur, dans le quartier le plus opulent de Paris, à deux pas de l'Hôtel Ritz, de l'Opéra, des joailliers les plus réputés du monde, les Boucheron, Van Cleef & Arpels, Chaumet ? La galerie Levasseur, justement... Une institution! Il n'est pas donné à chacun d'y laisser ses tableaux. Ni surtout de s'y retrouver en tête d'affiche. La vénérable douairière qui a traversé plus d'un siècle sans jamais changer de nom, est située juste à côté du fameux Hôtel Meurisse, dont les clients célèbres ont, depuis tout ce temps, transporté l'art à la grandeur du monde. Et pas seulement l'art français mais aussi celui des grands noms des mouvements européens attirés dans cette galerie de prestige, qui vit sans complexe aucun à l'ombre de la grandeur du Louvre. Qu'a-t-il vraiment ressenti, Bakk, quand il a appris, ces derniers mois, que la galerie venait d'être investie par une cohorte de gardes du corps et de leurs célèbres protégés, le président intérimaire d'Irak, Monsieur Ghazi al Yaouar, et son épouse ? Le couple présidentiel y avait été attiré par la vitrine ouverte sur un tableau de Bakk. Comment ne pas résister à rapporter chez soi, dans son pays dévasté, des pauses de beauté, de couleur et de lumière signées d'un des plus grands noms de l'impressionnisme contemporain ? Sept tableaux de Dominique Bakk prirent donc le chemin de l'Irak. En un tel moment, l'artiste pense-t-il avoir atteint son idéal ?
D'aussi loin qu'il s'en souvienne, la passion de la peinture a habité Bakk. Enfant, il en faisait un jeu. Puis, il s'y est attelé avec rêve et sérieux. Mais il n'a fréquenté aucune des grandes écoles des Beaux-arts. Mieux : il est devenu assidu des musées de France. Toutes les écoles de pensée s'y offraient à lui. Ah! La vieille Europe! Son âme s'est imbibée du génie de ceux qu'il aime appeler « les peintres de la réalité poétique ». À force d'observation minutieuse de l'oeuvre de Corot, précurseur de l'impressionnisme, puis des grands noms du mouvement, en particulier Pissarro, Sisley et Monet, il a appris à travailler suivant leur esprit. Mais il se réclame surtout de Monet, dont, rappelons-le, le tableau de 1872 intitulé Impression, soleil levant a donné son nom à l'école impressionniste dont il est le représentant le plus typique. J'ai cru comprendre que Dominique Bakk connaît son œuvre dans son ensemble et dans ses détails. Jusqu'aux 32 nuances d'une même couleur dans ses tableaux et l'utilisation très fréquente de la forme de la virgule dans le contour des objets...
J'aime penser que le destin de Bakk lui a fait prendre le relais de la vocation embrassée au départ par son maître. Monet rêvait de peindre chaque coin de son pays afin d'en créer une notion idéalisée. Mais le triste sort de son ami, l'écrivain Emile Zola, qui dut fuir en Angleterre pour éviter la prison après une série de rebondissements dans l'affaire Dreyfus, dont il était un indéfectible supporteur, amena Monet à se cloîtrer à Giverny et à se concentrer sur son jardin. Les trente dernières années de sa vie, il peignit plus de 500 toiles dont seulement une douzaine représentent des coins reconnaissables de la France. Bakk, lui, a pris la relève et se consacre entièrement à la représentation de la terre française. C'est un grand impressionniste à la touche originale, unique. II ne peut peindre sans entendre « l'imaginaire des bruits de la nature, une sorte de musique intérieure ». Il est le chef, la nature est son orchestre, et c'est tout son être qui guide sa main. N'est-ce pas là l'essence même de l'impressionnisme ?
L'art n'a pas de frontières. Les paysages de Bakk, au frisson particulier des motifs, ont fait leur entrée dans des galeries importantes et séduisent les collectionneurs à la grandeur du monde. On en a comme preuve les nombreuses récompenses qui jalonnent sa carrière. Des reconnaissances prestigieuses qu'il a souvent été le premier surpris de se voir attribuer. Peu de gens ignorent la portée de la Légion d'honneur. Ce qu'on sait moins, c'est que la France a une autre décoration, tout aussi prestigieuse, soit la Médaille du Mérite et du Dévouement français. On ne la reçoit pas sans avoir, comme on dit, gagné ses épaulettes. Bakk l'a reçue dans la catégorie Arts. La liste est longue et constituée, la plupart du temps, par un cheminement auquel Bakk n'a pas personnellement participé. Ainsi en est-il pour la Médaille d'or, Bilan d'art contemporain, décernée à New-York en 2000. Sa galerie de Chicago l'avait inscrit : il a gagné. Le jour où, en 1992, l'ambassade des États-Unis en France tint une exposition des grands noms de l'art international contemporain, Bakk était bien jeune pour y recevoir le Grand Prix de la peinture. Pourtant, il l'obtint. Et il fait mentir le vieux dicton voulant que nul ne soit prophète en son propre pays car ses toiles font partie des collections des grandes institutions françaises. Nous n'en nommerons ici que quelques-unes : Électricité de France; Elf Huiles et Pétroles France. Et on ne compte plus les ambassades en sol français qui le mettent à l'honneur.
Dominique Bakk est représenté en exclusivité au Canada par les galeries de la famille Beauchamp : Bel Art & Ass. à Québec ainsi que la Galerie d'art Beauchamp, à Baie-Saint-Paul.
C'est Bakk lui-même qui a repéré, puis choisi ces points d'exposition, à la grande et heureuse surprise des maîtres de céans. Des toiles de maître à prix si raisonnables, comme le disait cette collectionneuse venue de New-York et qui repartit avec une brassée de tableaux. Une provision de fleurs pour faire oublier la guerre et la morosité des jours.
Antoine Tardif
L'oeuvre de Dominique BAKK a acquis une reconnaissance internationale. Ces paysages "aux herbes folles" ont établi sa notoriété et reflètent le calme et la sérénité.
Ayant fait l'objet de somptueuses exposition en France, ainsi qu'au sein de plusieurs nations étrangères, ses toiles ont acquis les critiques les plus exigeantes.
Sa source d'inspiration, essentiellement les paysages de Normandie, mais également ceux du Midi, se nourrit aussi de ses nombreux voyages de par le vaste monde.
J. GARROUSTE
Critique d'Art et Journaliste